Une soirée pour célébrer notre identité québécoise

Vincent VallièresLes festivaliers ont offert un accueil chaleureux à l'artiste qui témoigne de la place qu'il occupe dans le coeur des gens. Photo : Philippe Moussette

Les festivaliers, qu’ils soient petits ou grands, étaient au rendez-vous ce soir au Parc de la Francophonie pour une soirée 100% québécoise francophone avec Vincent Vallières et Louis-Jean-Cormier.

Par Mélissa Gaudreault

Vincent Vallières a tout de suite mis l’ambiance dans la place, avec son groove, sa guitare et son band.

Il était tantôt accompagné de sa guitare pour jouer des airs que l’on aime écouter et chanter sur le bord d’un feu, tantôt attelé au piano pour une chanson plus douce et ressentie.

On a pu entendre plusieurs de ses grands succès tels que Ensemble parmi les autres, Ok on part, Stone, L’amour c’est pas pour les peureux.

Il nous a aussi fait découvrir sa nouvelle chanson adressée aux femmes de sa génération intitulée « Elle n’entend plus battre son cœur », dans laquelle il reconnait la force et l’importance des femmes.

Le public a même eu droit à un duo Vincent Vallières et Louis-Jean Cormier vers la fin du spectacle du premier sur la chanson Le temps passe, un peu avant celui du second.

Vincent Vallières a conclu sa performance avec la chanson coup de cœur des Québécois, On va s’aimer encore, accompagné des voix de tous les festivaliers présents.

La passion de Louis-Jean Cormier

Louis-Jean Cormier a débuté son spectacle dans une douce ambiance de club de jazz en fin.

Il a poursuivi en crescendo en accélérant le rythme et en transmettant une énergie de plus en plus intense.

Louis-Jean Cormier
L’artiste s’est amusé sur scène et on pouvait clairement voir qu’il avait hâte de retrouver le public et de revenir sur scène après une longue absence. Photo : Philippe Moussette

On a pu apprécié son humour et quelques anecdotes dans un discours court et poignant.

Il a notamment justifié l’écriture de deux albums en l’espace d’un an qu’il a fait parce qu’il avait beaucoup de temps libre durant la pandémie et qu’il se « tournait les pouces ».

Il a également mentionné son père, à propos duquel il a écrit plusieurs chansons et qui est décédé cette année, avec une touche d’humour.

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