L’équipe de Bruno Marchand s’agrandit

Bruno Marchand entouré par certains des candidats de Québec Forte et FièreBruno Marchand entouré par certains des candidats de Québec Forte et Fière. Photo : Courtoisie.

Les deux dernières candidatures qui complètent l’équipe de Québec Forte et Fière dans l’arrondissement de La Haute-Saint-Charles ont été annoncées ce mardi.

Manon Robitaille, présidente de la Commission scolaire de la Capitale durant les six dernières années, est candidate pour le district de Val-Bélair. Du côté du district de Lac-Saint-Charles-Saint-Émile, il s’agit de Ludovic Lorrin, arrivé au Québec âgé de 25 ans.

Val-Bélair : « un district oublié »

Manon Robitaille réside dans Val-Bélair depuis près de 15 ans. Elle a contribué à la construction de plusieurs écoles, dont la Myriade, qu’elle qualifie de « réussite personnelle et commune avec les acteurs du milieu ».

Selon le chef Bruno Marchand, la candidate pour Val-Bélair saura entendre les gens de Val-Bélair qui ont « trop souvent été oubliés », la qualifiant d’une « actrice du changement tous les jours ».

« La vision de Bruno Marchand à faire de la politique autrement et à bâtir une ville à l’image de ses citoyens, avec ses citoyens, m’a immédiatement interpellée », affirme Manon Robitaille.

La candidate dans Val-Bélair s’engage donc pour « redonner vie au district » et lui accorder « la place et la qualité de vie qu’il mérite ».

L’importance de « l’accueil et du vivre ensemble »

En tant qu’immigrant québécois arrivé en 2000, Ludovic Lorrin « a vécu toutes les étapes de l’intégration, avec les moments de grands bonheur et les moments de doute ».

Selon Bruno Marchand, le nouveau candidat dans Lac-Saint-Charles-Saint-Émile « laisse sa marque dans son district en prenant soin de tout le monde ».

Il opère notamment un four à pain communautaire, la Mie-Commune ; lieu de rassemblement qui « permet de briser l’isolement et de partager un moment avec ses concitoyens ». Il a par ailleurs été membre du Conseil de quartier du Lac Saint-Charles de 2016 à 2019 et du Conseil d’établissement de l’école secondaire du Sommet depuis 2018.

Ludovic Lorrin désire être un conseiller « qui veillera sur notre territoire et sa protection » sans opposer économie et environnement.

D’après son équipe, « son expertise sera fort pertinente pour alimenter les réflexions sur les enjeux de main-d’oeuvre et les stratégies visant l’immigration, la rétention et l’intégration des travailleurs et de leur famille ».

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