Jean Rousseau veut donner une nouvelle vocation aux Galeries Charlesbourg

Jean Rousseau et Anabelle BeaudoinLe chef de Démocratie Québec Jean Rousseau en compagnie de la candidate du parti dans le district de Saint-Rodrigue. Photo : Courtoisie

Le chef de Démocratie Québec veut refaire une beauté aux Galeries Charlesbourg. Il s’est engagé mercredi matin à trouver une nouvelle vocation à ce centre commercial, en collaboration avec le propriétaire Trudel Alliance, s’il est porté à la tête de la ville le 7 novembre prochain.

Trudel Alliance possède aussi Place Fleur-de-Lys, qui est en ce moment en processus de requalification. 

« L’idée serait de faire un ‘’Fleur-de-Lys 2’’, adapté au quartier, explique Jean Rousseau. L’édifice pourrait avoir une vocation d’habitation avec des services de proximité, et accueillir aussi quelques commerces. Le secteur a aussi un besoin criant de verdure. J’y ai marché et il n’y a que de l’asphalte et du béton partout. Il serait bon d’y planter des arbres. »

Une nouvelle candidate dans Saint-Rodrigue 

Jean Rousseau a par ailleurs dévoiler l’identité de la candidate de son parti dans le district de Saint-Rodrigue, qui est vacant depuis le départ de Vincent Dufresne il y a quelques mois. 

Il s’agit d’Anabelle Beaudoin, une jeune femme de 25 ans, qui a notamment initié le regroupement citoyen Zéro Déchet Québec. « Elle a beaucoup d’énergie, de maturité, et surtout d’idées pour le secteur. Elle compte entre autres donner aux citoyens des espaces communautaires comme un jardin collectif », a déclaré le chef de Démocratie Québec.

Selon M. Rousseau, cette candidature est toute indiquée pour le district de Saint-Rodrigue, qui aurait été « trop longtemps négligé ». 

« M. Dufresne a fait un travail classique de conseiller municipal. Il a attendu que les citoyens viennent vers lui plutôt que de prendre l’initiative. Mais maintenant on est ailleurs, et on a besoin d’autre chose pour ce district. C’est pour cela qu’on s’est aussi engagé à former deux conseils de quartier dans le district, afin que les citoyens puissent s’impliquer. On veut travailler de la base vers le haut, et non l’inverse. »

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