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Chronique : Lire est essentiel à notre bien-être et à notre intellect

lecture hiverLa lecture n'est pas nécessairement prescrit par les médecins, mais ses bienfaits sont indéniables. (Photo : Pixabay)

Par Mélissa Gaudreault

La lecture.

Beaucoup de gens n’aiment pas ou ont de la difficulté à lire.

Nos parents nous initient pourtant à la lecture à un très jeune âge et ils ont raison de le faire.

Outre les études qui prouvent que la lecture a de nombreux bienfaits, il est facile de le constater par nous-mêmes.

La lecture peut être un bon passe-temps et nous divertir lorsque l’on n’a pas grand-chose à faire ou que nous sommes limités dans nos activités comme lors d’une tempête de neige.

Pour ceux qui l’apprécie déjà, c’est une activité très relaxante et on peut voyager à travers toutes sortes d’univers dans le confort de chez soi.

Elle peut aussi nous faire voyager dans un monde imaginé, une région éloignée du monde ou nous faire découvrir ou redécouvrir notre région.

On peut par exemple se retrouver dans plusieurs romans de Chrystine Brouillet, de Jean-Pierre Charland, de Richard Ste-Marie qui se déroulent à Québec.

Sur le plan intellectuel, on peut apprendre et développer beaucoup de choses en lisant comme notre vocabulaire (en français ou d’autres langues), notre mémoire, notre communication, notre concentration, nos connaissances sur des sujets divers et notre esprit d’analyse.

Lire un livre ou un texte sur un sujet précis peut aussi nous faire un sujet à aborder dans une conversation avec des gens que l’on connait ou des inconnus et provoquer des discussions intéressantes.

Enfin, la lecture peut nous faire réfléchir à des enjeux de société importants, à revoir notre perception des choses et peut-être même à nous pousser à devenir meilleur.

On peut penser à des œuvres comme celles de Jane Austen qui aborde le statut de la femme, à La Servante écarlate de Margaret Atwood sur le féminisme mais aussi le racisme, l’homophobie, les droits et libertés et la religion, ou encore à Une année en Provence de Peter Mayle et La fois où j’ai suivi les flèches jaunes d’Amélie Dubois sur notre définition du bonheur et notre capacité à nous adapter à la nouveauté.

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