Karkwatson : Du pur bonheur

KarkwatsonPhoto : Philippe Moussette

Québec — Plus de deux heures de bonheur, voilà comment décrire le spectacle de Karkwatson au Centre Vidéotron hier soir. On ne s’attendait à rien moins puisque les deux groupes sont connus pour leurs performances hors de l’ordinaire. Et c’était pari réussi à nouveau. Une soirée captivante pour laquelle on ne voulait pas qu’elle cesse.

Par Marie-Claude Boileau

On remercie Jim Corcoran qui a eu l’idée d’unir Patrick Watson et Karkwa sur une scène manitobaine il y a 10 ans. On remercie aussi les deux groupes d’avoir récidivé à Québec et Montréal. On avait raté le concert du Grand Théâtre en 2008. Pas question de faire cette erreur cette fois-ci.

Les deux formations musicales ont l’habitude d’être excellentes sur scène tant musicalement que du côté de la scénographie. Fidèle et perfectionniste, tout était parfait. La scène, le jeu de lumière au diapason des chansons ou encore le choix des chansons. Les pièces se suivaient et s’entremêlaient tout naturellement alternant entre le mélodique Patrick Watson et le rock et l’énergie de Karkwa.

La complicité était palpable. C’était comme si le temps n’avait changé à part quelques cheveux blancs. De leur côté, les spectateurs étaient hypnotisés, les yeux rivés sur la scène, charmés par la musique et envoûtés par la scénographie.

Impossible de choisir notre performance préférée. Elle avait toute un je-ne-sais-quoi : Words in the fire en version acoustique, le jeu de batterie époustouflant dans Beijing ou encore 28 jours chanté par Patrick Watson.

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